Paroles

ICH UND DIE STADT

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Description :

Nina Hoss interprète le poème de Kurt Tucholsky Augen in der Großstadt (“Les yeux dans la ville”) sur des lignes de synthé qui rappellent Blade Runner à nouveau sur un fond de pluie. Le titre provient du tableau du même nom de Ludwig Meidner, réalisé en 1913.

Paroles :

Wenn du zur Arbeit gehst am frühen Morgen
Wenn du am Bahnhof stehst mit deinen Sorgen
Da zeigt die Stadt dir asphaltglatt
Im Menschentrichter Millionen Gesichter
Zwei fremde Augen, ein kurzer Blick
Die Braue, Pupillen, die Lider
Was war das? Vielleicht dein Lebensglück
Vorbei, verweht, nie wieder

Du gehst dein Leben lang auf tausend Straßen
Du siehst auf deinem Gang, die dich vergaßen
Ein Auge winkt, die Seele klingt
Du hast’s gefunden, nur für Sekunden
Zwei fremde Augen, ein kurzer Blick
Die Braue, Pupillen, die Lider
Was war das?
Kein Mensch dreht die Zeit zurück
Vorbei, verweht, nie wieder

Du musst auf deinem Gang durch Städte wandern
Siehst einen Pulsschlag lang den fremden Andern
Es kann ein Feind sein, es kann ein Freund sein
Es kann im Kampfe dein Genosse sein
Es sieht hinüber und zieht vorüber
Zwei fremde Augen, ein kurzer Blick
Die Braue, Pupillen, die Lider
Was war das?
Von der großen Menschheit ein Stück
Vorbei, verweht, nie wieder


La ville et moi

Quand tu vas au travail au petit matin
Quand tu attends à la gare avec tes soucis
La ville te montre alors, lisse comme l’asphalt
Dans l’entonnoir humain, un million de visages
Deux yeux étrangers, un rapide coup d’œil
Le sourciel, les pupilles, les paupières
Qu’était-ce ? Peut-être le bonheur de ta vie
Fini, parti, plus jamais

Toute ta vie, tu marches dans des milliers de rues
Sur ton chemin, tu vois ceux qui t’ont oublié
Un clin d’œil, l’âme chante
Tu l’as trouvée, seulement pour quelques secondes
Deux yeux étrangers, un coup d’œil
Le sourcil, les pupilles, les paupières
Qu’était-ce ?
Personne ne remonte le temps
Fini, parti, plus jamais

En chemin tu dois te promener dans ces villes
Voir l’autre étranger pendant un simple battement de cœur
Il peut être un ennemi, Il peut être un ami
Il peut être ton camarade au combat
Il regarde et passe
Deux yeux étrangers, un coup d’œil
Le sourcil, les pupilles, les paupières
Qu’était-ce ?
Un petit morceau de toute l’humanité
Fini, parti, plus jamais

GIB MIR DAS LICHT

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EERA revient sur un morceau d’une extrême beauté dont les paroles sont inspirées par le poème Kokain de l’incarnation de la République de Weimar, l’actrice et danseuse Anita Berber.

Paroles :

Verspieltes Licht
Die Nacht betreten
Aber er quält diesen Schatten
Der Schatten
Gib mir das Licht

Gib mir das Licht

Schimmernes Licht
Es tänzt für immer
Springt über den Schatten
Der Schatten
Gib mir das Micht

Gib mir das Licht


Apporte-moi la lumière

L’espiègle lumière
Qui pénètre la nuit
Mais elle tourmente cette ombre
La pénombre
Apporte-moi la lumière

Apporte-moi la lumière

La chatoyante lumière
Elle danse pour toujours
Elle se précipite sur l’ombre
Cette pénombre
Apporte-moi la lumière

Apporte-moi la lumière

DER RHYTHMUS DER MASCHINEN

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“Le rythme des machines”, Blixa Bargeld de Einstürzende Neubauten et des Bad Seeds pose un monologue robotique sur une bande sonore industrielle à souhait rappelant Metropolis mélangé à des samples du “film sonore” Wochenende avec un joli rappel à Progress.

Paroles :

Machines will do the heavy work
Men will supervise the machines

Machines will do the heavy work
Men will supervise the machines

Die Stadt ist die Maschine
Ingenieure
In der riesigen Maschine
Formen den neuen Mensch
Endverstärker
Ausschlag links
Ausschlag rechts
Signalingenieure
Lassen frei den neuen Mensch

Es wird gebaut
Die Überstadt
Über-überstadt
Die Überstadt


Le rythme des machines

Les machines feront le dur labeur
Les hommes superviseront les machines
Les machines feront le dur labeur
Les hommes superviseront les machines

La ville est la machine
Les ingénieurs
Dans la gigantesque machine
Façonnent le nouvel Homme
Amplificateur de puissance
Réponse à gauche
Réponse à droite
Les ingénieurs du traitement du signal
Libèrent le nouvel Homme

Elle se construit
La Überstadt
La Über-überstadt
La Überstadt

A WONDERFUL HOPE | Paroles

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Morceau éponyme de l’album du projet parallèle de J. Willgoose, Esq., Late Night Final. Il comprend un sample d’un article de formation extrait de la bibliothèque Watchtower des Témoins de Jéhovah.

Paroles :

When you consider the future
Do you think that things are likely to improve
Become worse
Or stay the same?
I feel that things will improve
That’s a wonderful hope
A wonderful hope

When you consider the future
Do you think that things are likely to improve
Become worse
Or stay the same?
I feel that things will improve
That’s a wonderful hope
A wonderful hope

A wonderful hope

A wonderful hope

A wonderful hope

When you consider thе future
Do you think that things are likely to improvе
I feel that things will improve
That’s a wonderful hope

A wonderful hope

A wonderful hope


Un merveilleux espoir

Quand vous considérez l’avenir
Pensez-vous qu’il y a des chances que les choses s’améliorent
S’empirent
Ou restent pareilles ?
Je pense que les choses vont s’améliorer
C’est un merveilleux espoir
Un merveilleux espoir

Quand vous considérez l’avenir
Pensez-vous qu’il y a des chances que les choses s’améliorent
S’empirent
Ou restent pareilles ?
Je pense que les choses vont s’améliorer
C’est un merveilleux espoir
Un merveilleux espoir

Un merveilleux espoir

Un merveilleux espoir

Un merveilleux espoir

Quand vous considérez l’avenir
Pensez-vous qu’il y a des chances que les choses s’améliorent
Je pense que les choses vont s’améliorer
C’est un merveilleux espoir

Un merveilleux espoir

Un merveilleux espoir

BLUE HEAVEN | Paroles

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Description :

Hymne à la confiance en soi inspiré par Marlene Dietrich, et en particulier de son lien avec Berlin. Andreya Casablanca du groupe berlinois Gurr donne sa voix et a co-écrit les paroles et la musique.

Le titre est tiré du standard du jazz My Blue Heaven, chanson que Dietrich a interprétée et qui lui a permis de rêver de s’installer en Amérique. Blue Heaven comprend également son célèbre refrain “Ich hab noch einen Koffer in Berlin” (“J’ai toujours une valise à Berlin”). En même temps, la couleur bleue du titre se réfère à son rôle majeur et émergeant dans l’Ange bleu, le film qui l’a catapultée star dans le monde entier.

Paroles :

I know I’m different
I do as I please
A spark inside that I can’t hide
A mystery
I dream of the big screen
Marlene up in lights
I am my own creation
I’m in my blue heaven

I like to show it all
Exposed in their unmade beds
I got a mission now
Doing things they won’t forget
And how they light up my face
So they can find their own grace
I am my own invention
Yeah I’m in my blue heaven

Let you down, let you down, let you down, let you down
I won’t let me down, let me down, let me down, lеt me down

Noch einen Koffеr in Berlin
Suddenly they want me back
Aber nein, bitte, danke, für die Freiheit bleib ich stark [but no, please, thanks, I stay strong for freedom]
Am I the moth or a flame?
As long as I play my game
I am my creation
Yeah I’m in my blue heaven

Let you down, let you down, let you down, let you down
I won’t let me down, let me down, let me down, let me down

Und Schnitt, Montage, Totale, Aufnahme Geräusch und Musik und Dynamik und Sprache Marlene im Licht, Kostüm ist eine Pflicht
Selbstbeherrscht und kühl ist mein Gesicht
Und ich bin mein Produkt ganz von mir gemacht
Ich bin mein Produkt ganz von mir gemacht

They call me a traitor
They spit in my face
But I’m in my blue heaven
Blue heaven
Blue heaven
Blue heaven

Let you down, let you down, let you down, let you down
I won’t let me down, let me down, let me down, let me down

Ich hab noch einen Koffer in Berlin


Paradis bleu

Je sais que je suis différente
Je n’en fais qu’à ma tête
Une étincelle en moi que je ne peux cacher
Un mystère
Je rêve du grand écran
Marlene captant la lumière
Je suis ma propre création
Je suis dans mon paradis bleu

J’aime à tout montrer
Exposée dans leurs lits défaits
J’ai désormais une mission
Faire des choses qu’ils n’oublieront pas
Et comment ils illuminent mon visage
Pour trouver leur propre grâce
Je suis ma propre invention
Ouais, je suis dans mon paradis bleu

Te laisser tomber, te laisser tomber, te laisser tomber, te laisser tomber
Je ne vais pas me rabaisser, me rabaisser, me rabaisser, me rabaisser

J’ai toujours une valise à Berlin
Tout à coup, ils veulent à nouveau de moi
Mais, non, s’il vous plaît, merci, je reste forte au nom de la liberté
Suis-je le phalène ou une flamme ?
Tant que je joue bien à mon jeu
Je suis ma création
Ouais, je suis dans mon paradis bleu

Te laisser tomber, te laisser tomber, te laisser tomber, te laisser tomber
Je ne vais pas me rabaisser, me rabaisser, me rabaisser, me rabaisser

Et coupure, montage, plan d’ensemble, enregistrement, son et musique et dynamique et langue, Marlene dans la lumière, le costume est indispensable, mon visage est indifférent, je garde mon sang-froid
Et je suis mon produit, complètement créé par moi-même
Je suis mon produit, complètement créé par moi-même

Ils me traitent de traître
Ils me crachent au visage
Mais je suis dans mon paradis bleu
Paradis bleu
Paradis bleu
Paradis bleu

Te laisser tomber, te laisser tomber, te laisser tomber, te laisser tomber
Je ne vais pas me rabaisser, me rabaisser, me rabaisser, me rabaisser

J’ai toujours une valise à Berlin

PEOPLE, LET’S DANCE | Paroles

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Description :

Hymne aux célèbres clubs de la capitale allemande, incorporant un riff de People Are People par Depeche Mode. Comprend la voix de la chanteuse norvégienne d’origine allemande EERA. Le titre est tiré d’un chapitre du livre de Rory MacLean, Berlin: Imagine a City, qui traite en particulier de la vie nocturne en club dans la capitale allemande.

Paroles :

Salziger Schweiß
Bewegungen der Seelen
Hier spielen sie kraftvolle Musik
Warum nicht tanzen kommen?
Es ist ganz natürlich
Komm tanzen
Komm tanzen
Komm tanzen
Komm tanzen

Die Bewegung des Lebens
Aufregung steigt
Die Bewegung des Lebens
Dies ist unsere Zeit

Komm tanzen (Komm tanzen)
Und loslassen
Komm tanzen (Komm tanzen)
Peoplе, let’s dance

Wir vergеssen Zeit und Ort
Die Wärme steigt
Vergessen Zeit und Ort

Komm tanzen (Komm tanzen)
Und loslassen
Komm tanzen (Komm tanzen)
People, let’s dance

Komm tanzen (Komm tanzen)
Und loslassen
Komm tanzen (Komm tanzen)
People, let’s dance

Von abends, bis morgens, bis abends wieder
Von Freitag, bis Samstag, bis Sonntag wieder
Von abends, bis morgens, bis abends wieder
Von Freitag, bis Samstag, bis Sonntag wieder
Von abends, bis morgens, bis abends wieder
Von Freitag, bis Samstag, bis Sonntag wieder
Von abends, bis morgens, bis abends wieder
Von Freitag, bis Samstag, bis Sonntag wieder
Von abends, bis morgens, bis abends wieder

Komm tanzen

Komm tanzen
Die Bewegung des Lebens
Komm tanzen
Wir vergessen Zeit und Ort
Komm tanzen
Komm tanzen
Komm tanzen
Komm tanzen
Komm tanzen
Aufregung steigt
Komm tanzen
Dies ist unsere Zeit
Komm tanzen
Komm tanzen
Komm tanzen


Les gens, dansons

La sueur salée
Le mouvement des âmes
Ici ils passent de la musique puissante
Pourquoi ne pas danser ?
C’est complètement naturel
Viens danser
Viens danser
Viens danser
Viens danser

Le mouvement de la vie
L’excitation monte
Le mouvement de la vie
C’est notre moment

Viens danser (Viens danser)
Et te lâcher
Viens danser (Viens danser)
Les gens, dansons

Nous oublions le temps et l’espace
La chaleur monte
En oubliant le temps et l’espace

Viens danser (Viens danser)
Et te lâcher
Viens danser (Viens danser)
Les gens, dansons

Viens danser (Viens danser)
Et te lâcher
Viens danser (Viens danser)
Les gens, dansons

Du soir, au matin, au soir à nouveau
Du vendredi, au samedi, au dimanche à nouveau
Du soir, au matin, au soir à nouveau
Du vendredi, au samedi, au dimanche à nouveau
Du soir, au matin, au soir à nouveau
Du vendredi, au samedi, au dimanche à nouveau
Du soir, au matin, au soir à nouveau
Du vendredi, au samedi, au dimanche à nouveau
Du soir, au matin, au soir à nouveau

Viens danser

Viens danser
Le mouvement de la vie
Viens danser
Nous oublions le temps et l’espace
Viens danser
Viens danser
Viens danser
Viens danser
Viens danser
L’excitation monte
Viens danser
C’est notre moment
Viens danser
Viens danser
Viens danser

THE DEEP

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Description :

Sur cette adaptation du Songe d’automne de Archibald Joyce par J, Eva Hart, l’une des rescapées les plus connues du Titanic, rend hommage aux victimes.

Paroles :

Fifteen hundred and thirteen people died unnecessarily
They shouldn’t have died
If there had been enough lifeboats, they wouldn’t have died
And I entirely endorse what Dr. Ballard said
His actual words were
“It is quiet and peaceful and a fitting place for the remains of this greatest of sea tragedies to rest”
“May it forever remain that way and may God bless these now-found souls”


Les abysses

Mille cinq cent treize personnes sont mortes inutilement
Elles n’auraient pas dû mourir
S’il y avait eu assez de canots de sauvetage, elles ne seraient pas mortes
Et je soutiens complètement ce que le Dr Ballard a dit
Ses mots exacts étaient
“C’est calme et paisible et un lieu approprié au repos des vestiges de cette grande tragédie navale”
“Qu’il reste ainsi à jamais et que Dieu bénisse ces âmes nouvellement découvertes”

C-Q-D

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Description :

C-Q-D était l’un des premiers appels de détresse établis pour la radio, avant l’adoption du SOS. Si on écoute bien, on reconnaît le signal dans le motif rythmique : toute la chanson épelle C-Q-D à n’en plus finir, dans une sorte de parallèle lugubre à la manière dont l’opérateur radio à bord du Titanic a répété l’appel de détresse tandis que le bateau coulait.

Paroles :

I should probably dream about her tonight
Haven’t had a nightmare
You’d think I’m too old for that but you’d be amazed
You lie in bed at night and the whole thing comes round again


C-Q-D

Je devrais probablement en rêver cette nuit
Je n’ai pas fait de cauchemar
On penserait que je suis trop vieux pour ça mais vous serez étonné
Tu es au lit la nuit et tout revient encore et encore

THE UNSINKABLE SHIP

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La construction du paquebot “insubmersible”, un chantier sans précédent !

Paroles :

When I was a wee boy growing up in Belfast
My father was working in the shipyard
And he kept telling me about this great ship that he was having to build
One Sunday he took me down to the shipyard
And he told me to look up

It was a huge piece of steel
It seemed to reach the sky, it was so high
And there seemed to be no end of it, it was so long
In Belfast we called it, “The Unsinkable Ship”

We called it “The Unsinkable Ship”


L’insubmersible

Quand j’étais petiot à Belfast
Mon père travaillait sur le chantier naval
Et il n’arrêtait pas de me parler de ce grand paquebot qu’il devait construire
Un dimanche, il m’a emmené sur le chantier naval
Et il m’a dit de lever les yeux

C’était un énorme morceau d’acier
Il semblait toucher le ciel, il était tellement haut
Et on aurait dit qu’il n’avait pas de fin, il était tellement long
À Belfast, on l’appelait “l’Insubmersible”

On l’appelait “l’Insubmersible”

WHITE STAR LINER

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Description :

Le paquebot “insubmersible” met les voiles vers New York !

Paroles :

It was time to go
Tide was fast and pulled her great bulk away from the quay
And her own three engines and 55,000 horsepower could take over
A sixth of a mile long
Eleven stories high
She was the largest and most luxurious liner in the world

White Star Liner
White Star Liner
White Star Liner
White Star Liner

After her trials, she left Belfast dock for Southampton
To her passengers, she seemed more like a huge floating hotel than a ship

White Star Liner
White Star Liner
White Star Liner
White Star Liner

Then she set off for the open sea and New York
And as she sailed away, her builders had no doubt
That this was the start of a great career (start of a great career)


Navire de la White Star Line

Il était temps de partir
La marée était rapide et tirait son grand volume loin du quai
Et ses trois propres moteurs, et 55 000 chevaux pouvaient prendre le contrôle
D’un sixième d’un mille marin Une hauteur de dix étages
C’était le paquebot le plus grand et le plus luxueux au monde

Navire de la White Star Line
Navire de la White Star Line
Navire de la White Star Line
Navire de la White Star Line

Après ses essais, il a quitté le dock de Belfast pour Southampton
Pour ses passagers, il ressemblait plus à un gigantesque hôtel flottant qu’un navire

Navire de la White Star Line
Navire de la White Star Line
Navire de la White Star Line
Navire de la White Star Line

Puis il a pris la route pour le large et New York
Et tandis qu’il mettait les voiles, ses constructeurs n’avaient aucun doute
Que c’était le début d’une grande carrière (le début d’une grande carrière)