RICHARD BOYER
Samplé sur A Candle Which Will Not Be Put Out
Sir Richard James Fidles (Dick) Boyer, chevalier commandeur de l’Empire Britannique (24 août 1891 – 5 juin 1961) était un herbager et président de radiodiffusion australien. De 1945 à sa mort, il a été le président de l’Australian Broadcasting Commission et les Boyer Lectures annuelles sur Radio National sont nommées en son honneur.
Enfance, vie estudiantine et serive militaire
Boyer est né à Taree en Nouvelle-Galles du Sud, troisième fils cadet d’un pasteur wesleyaniste. Il est allé au Wolaroi College de Orange et au Newington College (1901 – 1909). À l’université de Sydney, il a reçu un Bachelor of Arts en 1913 et un Master of Arts en 1915. Boyer a rejoint le ministère méthodiste et en 1914 et 1915 a été élève sur le circuit de Canberra.
Boyer s’est enrollé dans l’a première force impériale australienne de l’armée australienne le 2 septembre 1915 ayant servi précédemment dans le régiment universitaire de Sydney. Il a été membre des 24ème renforts du premier bataillon posté sur la péninsule de Gallipoli à partir du 16 septembre 1915. Il a été commandé tenant le rang de lieutenant, et gazé le 17 septembre 1917. Boyer est passé par de nombreux hôpitaux et services de convalescence avant de retourner en Australie le 31 août 1918.
Carrière dans le pâturage
Au lieu de revenir dans le ministère, Boyer est devenu jackeroo (jeune ouvrier agricole) et en 1920 a acquis une propriété de 15 642 ha nommée Durella, près de Morven dans le Queensland et a épousé son ancienne infirmière de guerre Eleanor Muriel Underwood. Les Boyer ont réussi comme éleveurs ovins et il est devenu président de la Warrego Graziers’ Association en 1934 et, après une visite en Europe en 1935, a accru son implication dans les affaires de l’industrie de la laine. En tant que président de la United Graziers’ Association of Queensland (1941 – 1944) et du Graziers’ Federal Council of Australia (1942), il a gagné des avantages fiscaux pour des améliorations pastorales et a siégé à la Australian Meat Industry Commission. Durella a été placé sous gestion et les Boyer se sont installés à Brisbane en 1937 et à Sydney en 1940. Il a recherché des opportunités dans le service public et a évité la politique intérieure. Il a été nommé directeur honoraire de la division américaine du département de l’information et en 1942 et 1945, il est allé à l’étranger pour des conférences de l’Institut des relations du Pacifique. En tant que président du Commonwealth Council du Australian Institute of International Affairs, il a lancé la revue Australian Outlook. Dans les années 1940 et 1950, Boyer a dévoué ses énergies formidables au comité national australien de l’appel pour les enfants des Nations unies, au comité du service international du Rotary Club de Sydney et au Good Neighbour Council.
Carrière dans l’audiovisuel
En 1940, Boyer a été nommé membre de la Australian Broadcasting Commission et est devenu président cinq ans plus tard. Avec l’introduction de la télévision en 1954, on a donné à ABC la responsabilité pour le service national. En 1956, Boyer a été nommé chevalier commandeur de l’Ordre de l’Empire Britannique et a refusé le poste de haut commissaire au Canada. L’année suivante, il a lancé les conférences annuelles qui ont plus tard porté son nom. Il est décédé à Wahroonga et sa femme, sa fille et son fils lui ont survécu.
Héritage
Boyer était au centre du monde médiatique australien, et a pris la tête de la subtile guerre culturelle en cours. Il a lutté contre l’attrait de la culture populaire américaine, avec sa popularité répandue et le risque, selon lui, de dégrader le goût public. Il préfèrait la culture traditionnelle supposément supérieure de la patrie mère, qui appelait à améliorer les publics qui représentaient l’élite de la nation. En tant que président de l’Australian Broadcasting Commission, Boyer s’est battu contre la commercialisation parce qu’il craignait que cela mènerait à la dominance américaine. Il a soutenu le modèle de la BBC d’une commission de diffusion de service publique comme capable de maintenir l’héritage britannique de l’Australie.
Source : Wikipédia, traduit de l’anglais