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On vote pour PSB !

Le site Sound Of Brit propose cette année encore leurs SOB Awards et vous pouvez (devez ?) voter pour PSB dans la catégorie “remix”. Rappelez-vous, le groupe avait signé un excellent remix de la chanson Marks To Prove It des Maccabees !

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Attention 5 dates de la tournée d’automne repoussées + première partie de Editors

Pour des raisons personnelles, les cinq premières dates de la tournée britannique de ce mois-ci ont été repoussées en février :

  • Leeds le 7 février
  • Édimbourg le 8 (COMPLET)
  • Liverpool le 10
  • Nottingham le 11
  • Norwich le 12

Les tickets restent valides ou peuvent être remboursés auprès des revendeurs. Comme d’habitude, plus de renseignements sur la page des RETRANSMISSIONS. Frànçois & The Atlas Mountains feront la première partie à Cardiff, Southampton et Londres. La nouvelle première partie pour février sera annoncée très prochainement.

Le groupe sera également les invités de dernière minute de Editors à la Heineken Music Hall d’Amsterdam le 5 novembre ! (Il me semble que c’est complet mais quelle belle affiche !)

J. Willgoose, Esq. explique la décision du groupe d’apparaître à un concert anti-Tories

Toujours sur son Tumblr, voici ma traduction :

“Aujourd’hui (21 septembre), nous avons confirmé que nous jouerons lors d’un événement à Manchester nommé “Beat Back” (“Faire reculer” ou “repousser”). Il est organisé par la People’s Assembly Against Austerity et a lieu durant la semaine de la conférence du parti conservateur. Le reste de l’affiche comprend Super Furry Animals et Charlotte Church, avec plus à être annoncés.

J’ai énormément réfléchi à propos de rejoindre cette affiche quand on nous a contactés. Je ne suis pas vraiment du genre à courtiser la controverse, la démagogie style tribune improvisée ou à lancer des débats en général. J’ai une peur quasi-pathologique de la confrontation. Et en tant que musicien, on a l’impression que, prendre des risques pour une cause, sur le plan politique, est devenu beaucoup plus risqué aujourd’hui, période où les groupes acceptent le sponsoring de marques sans même y réfléchir, et les marques sont à peu près partout sur le processus d’enregistrement, de la performance et, effectivement, de la vente de la musique. Néanmoins, nous en avons tous discuté, et nous avons décidé que c’était quelque chose que nous ressentons fortement pour y répondre “oui”.

Il est difficile de localiser exactement quand il a été démodé, ou que c’est devenu la chose à ne pas faire, pour les groupes d’être des bêtes politiques explicites. Certainement pas les années 1980 – l’existence continue du Clash réfuterait cela par elle-même, sans compter le grand nombre d’artistes et musiciens qui ont soutenu les mineurs durant leur grève d’un an. Même bien dans les années 1990, des groupes comme les Manic Street Preachers ouvraient férocement une voie très politique, et continuent à le faire aujourd’hui. Radiohead ont soutenu une variété de campagnes, dont une pour Friends of the Earth, et tandis que les Levellers ont été vivement moqués (en particulier par les Manics !), il serait difficile de nier que leur musique avait un côté politique. Sans utiliser Google, je me souviens des Beastie Boys, de Massive Attack, et même de Noel Gallagher jouant lors de concerts de protestation et les promouvant. (Aujourd’hui, je parierais que beaucoup de musiciens rechigneraient devant l’opportunité de jouer lors d’un concert Free Tibet, pressés par leurs labels de ne pas vexer un marché chinois émergeant et probablement très lucratif.)

Avancez très rapidement jusqu’aux groupes qui ont émergé ces dix dernières années et il est plus difficile pour moi de penser à des exemples de personnes qui ont volontiers pris des risques sur le front ou se sont explicitement alignées avec certaines causes. La position de Young Fathers après le Mercury Prize a été admirable, mais c’est l’exception qui confirme la règle. C’est presque comme si le marché musical, oppressé par des forces externes de toutes parts, était devenu plus conservateur et centralisé sur l’appel de masse pour survivre. “Ne vexez personne – on pourrait ne pas vendre autant de disques”. C’est assez ironique pour moi que je m’attends à plus de critiques en ligne aujourd’hui pour vouloir partager une scène en soutien d’idées de gauche traditionnelles ou libérales que nous en avons eu pour apparaître sur une scène avec “Barclaycard” blasonné dessus. Je sais laquelle je trouve plus perturbante, certainement.

Peut-être que jouer un peu plus prudemment, c’est ce que les groupes doivent faire aujourd’hui pour survivre, je ne sais pas. Moi, certainement, je ne m’en prendrais pas à ceux qui ne veulent pas de tapage, d’attention ou de critique qu’ils affrontent pour avoir défendu une cause (je ne sais simplement pas comment Charlotte Church supporte les injures qu’elle reçoit simplement pour avoir une opinion, et l’exprimer, sur les problèmes politiques d’aujourd’hui), et ce n’est certainement pas le sujet de ce post. Mais je crois fermement que les artistes, les écrivains et les musiciens devraient être libres de défier l’orthodoxie là et quand (et comme) ils le jugent bon. Nous n’existons pas dans un vide. Nous ne devrions pas nous excuser pour avoir exprimé des croyances politiques ou pris position pour quelque chose. Je ne m’excuse pas de cela.

Pour en revenir à l’annonce d’aujourd’hui, s’il y a une certaine surprise et résistance à ce que nous révélions une opinion politique ou deux, il y a peut-être également une certaine surprise que ces opinions ne soient pas aussi conservatrices que certains critique pourraient aimer à le croire. Cela a toujours été facile – et paresseux, je dirais – pour les critiques et ceux qui ne nous aiment pas de nous rejeter comme de la pure nostalgie, distraits par certains samples que nous utilisons et les associer à la pénible école “keep calm” de l’histoire fétichisée relookée. Ce ne serait pas vraiment un bond en avant d’extrapoler cela vers l’extérieur en assumant que nous épousions des valeurs conservatrices (petit ou grand C), ou quelque chose qui veuille revenir à ces mythiques “bons vieux jours”. Cela n’a jamais été ce dont nous parlons, en ce qui me concerne – l’indice se trouve dans le nom, tout d’abord (combien de Conservateurs aujourd’hui plaident en faveur du service public ? – “Public Service Broadcasting” en anglais, NDLT).

En regardant de plus près, le sentiment d’ensemble de The War Room est voulu comme l’un de peur et de perte, s’ouvrant avec le premier et se refermant très définitivement avec le deuxième. Ce n’est pas une célébration de conflit. Même la seule chanson la plus festive, Spitfire, est mélangée à de l’ironie ; elle aborde explicitement le beau design et la belle créativité qui agissent dans la fabrication d’un véhicule de mort et de destruction. En même temps, elle salue une machine qui a aidé à repousser le fascisme hors du pays et, finalement, a contribué en grande partie à sa chute. Je n’ai jamais trouvé qu’il y avait du mal à cela, et je ne crois pas que la gauche devrait reculer devant la célébration de machines qui ont aidé à battre les maux du fascisme, sous n’importe quelle forme. Le fait que la chanson fasse tout cela sur l’accompagnement du krautrock, utilisant des samples d’un film de propagande conçu pour susciter des sentiments patriotiques tout en s’éloignant considérablement des véritables événements, ne fait que souligner encore plus les ironies pour moi. Mais je comprends comment certains pourraient, à un niveau plus superficiel (et sans y réfléchir de manière plus sérieuse), vouloir la peindre et nous de manière plus conservatrice que nous le sommes. Ils ont tort, cependant. *

Des pensées et des thèmes similaires se trouvaient derrière l’écriture de The Race For Space, période d’énormes avancées technologiques rendues uniquement possibles par les uniques alignements géopolitiques de l’époque. À quel autre moment l’Amérique aurait pu justifier la dépense de milliards de Dollars pour envoyer un géologue sur la Lune ? Et plutôt que lire l’album comme une sorte de célébration de vols impérialistes de bêtises fantaisistes de plantage de drapeau, on pourrait tout aussi facilement le considérer comme un soutien des bénéfices énormes que les pays et les économies peuvent récolter d’un énorme engagement de dépenses publiques. Pensez à combien d’emplois, d’industries même, ont été créées par l’investissement d’environ 110 milliards de $ en argent d’aujourd’hui dans le programme Apollo. 110 milliards de $ investis dans ce qui était essentiellement de la recherche scientifique et technologique ! Imaginez si nous pouvions persuader les gouvernements d’aujourd’hui à faire des engagements similaires aux changements environnementaux que nous déclenchons (et oui, on pourrait ironiquement ajouter les millions et millions de tonnes de carburant utilisé à la poursuite des étoiles dans ces changements).

En tout cas, je crois fermement que ce n’est pas à moi de dire ce que veut dire notre musique. Cela fait partie du processus de la sortir – une fois qu’elle n’est plus dans nos mains, on n’a plus de contrôle sur sa signification et elle appartient aux personnes qui l’écoutent. Je pense qu’il serait juste de dire, cependant, que notre musique semble presque toujours se retrouver à célébrer le triomphe sur l’adversité, l’effort humain et les choses que nous pouvons atteindre lorsque nous travaillons ensemble. Ce sont des choses dans lesquelles je crois sérieusement et fortement, et ce sont ces croyances qui me font avoir mal au cœur quand je vois les photos de ce petit garçon sur la plage, ou quand je lis à propos de ces familles qui meurent dans des vans, des canots pneumatiques ou n’importe quel autre moyen de transport désespéré ils en sont réduits à prendre. Ce sont ces croyances qui me poussent à plaider contre les coupes budgétaires qui touchent les plus pauvres et les plus vulnérables de la société, et un fossé qui s’agrandit entre les riches et les pauvres ; de manière similaire, contre la privatisation en cachette de la sécurité sociale et le délabrement de la BBC pour apaiser les propriétaires privés des médias. Vous pouvez ne pas être nécessairement d’accord avec nos croyances, mais je ne crois pas que quelqu’un puisse nous nier le droit de les avoir ou de les exprimer. Au contraire, je pense que ce devrait être encouragé – il se peut que je n’ai pas à dire ce que veut, ou pas, dire notre musique, mais je peux certainement dire ce en quoi je crois.

Risquement vôtre,

J. Willgoose, Esq.

(*) Ayant dit cela à propos de Spitfire, il est difficile de faire passer une telle description nuancée dans une performance live, surtout quand nous n’utilisons pas de micro pour parler au public, je ne me suis toujours pas décidé si oui ou non c’est “juste” de la jouer lors d’un événement soutenu par Stop The War. Nous verrons.”

Korolev en écoute !

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La magnifique nouvelle chanson extraite de la prochaine double face A du groupe, Sputnik/Korolev peut s’écouter aujourd’hui sur Soundcloud, probablement un grand moment de la tournée du mois prochain !

*bip-bip* Nouveau EP annoncé ! *bip-bip*

Le groupe a annoncé que le successeur de The Other Side (et probablement dernier extrait de The Race For Space) serait une version plus adaptée à la radio de Sputnik avec en double face A, une nouvelle chanson intitulée Korolev, hommage au fondateur du programme spatial soviétique.

Première écoute très bientôt !

J. Willgoose, Esq. s’exprime sur le sexisme dans l’industrie musicale

Willgoose s’est récemment mis à blogger sur Tumblr. Il y a quelques semaines, il a décider de parler du sexisme dans l’industrie musicale, dont il est devenu pleinement conscient lors de la dernière tournée du groupe avec Smoke Fairies en première partie. Ayant assisté à 8 concerts sur 13, j’ai pu moi-même faire le même constat. Voici ma traduction :

Les femmes musiciennes

Plus tôt cette année, nous sommes partis en tournée au Royaume-Uni et en Irlande pour promouvoir notre nouveau disque, The Race For Space. L’album comprend une collaboration avec Smoke Faires, duo constitué de Katherine Blamire et Jessica Davies, qui sont accompagnées de manière compétente d’un groupe de trois personnes sur scène. Elles ont co-écrit et chanté sur un morceau de l’album, Valentina, chanson sur la première femme dans l’espace. Cela semblait une grande affiche pour moi – nos fans auraient une excellente première partie et nous pourrions interpréter la chanson ensemble chaque soir sur scène, aussi, ajoutant quelque chose de différent à notre spectacle live.

Tout a été confirmé de deux côtés et “l’annonce” (je déteste vraiment que les groupes “annoncent” des choses tout le temps – cela semble si suffisant, même si c’est devenu le mot standard pour toute sorte d’information liée à un concert) est parue sur tous les sites de médias sociaux habituels. La réaction générale était très bonne et concordait à ma propre opinion de l’affiche. Puis j’ai remarqué un commentaire qui se cachait parmi les sympathiques – il disait quelque chose du genre, et je paraphrase : “Je me demande pourquoi vous, deux jeunes gars, voulez les belles et glamour Smoke Fairies en tournée avec vous !” Vous pouvez ajouter vos propres clins d’œil et petits coups de coude entendus à la fin, si vous voulez.

Bon, nous avons tendance à avoir des fans très sympathiques en général – ils sont très polis, très enthousiastes, parfois très honnêtes mais pratiquement toujours d’une façon charmante. Parfois, ils font des blagues que je ne trouve pas très drôles – en particulier les références pénibles à l’Hôtel en folie qui émergent toujours quand nous annonçons un concert en Allemagne – mais c’est à peine un délit. Et ce commentaire, aussi, était considéré comme une blague. De tous les commentaires que nous ayons reçus cependant, celui-là me fait me hérisser le plus.

Je ne tiens pas de méchanceté particulière à la personne qui l’a écrit – en effet, je n’arrive pas à retrouver le commentaire original aujourd’hui – et je ne le vois pas comme autre chose qu’une représentation d’une mentalité très datée mais tristement toujours très répandue. Il est difficile, cependant, de trouver ce qui est le plus fortuitement offensant dedans : la “blague” hilarante que nous ayons mis nos propres avances séductrices devant notre considération du public qui paie pour venir nous voir, sans mentionner nos alliances assez évidentes (indice : elles sont grosses, brillantes et sont visibles sur la plupart des photos et quasiment toutes les performances live) ; la totale ignorance de notre collaboration (qui était pourtant expliquée dans le post commenté) ; ou l’affront fortuit sur Smoke Fairies d’être principalement, cette expression moderne assez hideuse, “bonnes”, plutôt que d’excellentes musiciennes de leur propre droit.

En fait, ce n’est pas difficile. La dernière partie est clairement la plus offensante. Mais le post était au moins utile dans un sens : il m’a ouvert les yeux beaucoup plus qu’avant au sexisme fortuit lancé aux groupes possédant des femmes musiciennes – du sexisme qui, tout comme le mec qui siffle les filles dans la rue, est défendu comme étant un compliment (“Souris, chérie !”) quand ce n’est pas du tout le cas. Étant un homme dans un groupe, on a tendance à rester inconscient de ce genre de commentaires, et ce n’est (à ma grande honte) qu’au moment où j’ai été directement attiré dedans que j’ai commencé à reconnaître combien de tels commentaires sont offensants.

Ce post était juste le signe avant-coureur de ce qui a suivi sur la tournée elle-même – j’ai lu des commentaires sur Twitter sur combien nous étions excellents et Smoke Fairies “superbes”, j’ai vu des extraits de chroniques sur internet où notre style musical était loué et Smoke Fairies étaient glorifiées comme “sensuelles”, et même certains organes de presse “professionnels” sont descendus dans un territoire prévisible, se concentrant d’abord sur à quoi Smoke Fairies ressemblaient plutôt qu’à leur musique.

Tandis que la tournée continuait, je me souviens de Smoke Fairies répondant directement à un tel tweet, dans lequel nous avions été “étonnants” ou un adjectif dans le genre et elles avaient été simplement “belles”. Elles ont répondu, avec un ton d’exaspération lasse : “Pourquoi sommes-nous belles ?” Je ne suis pas sûr qu’elles aient reçu une réponse. Twitter peut être un endroit assez déprimant pour tuer le temps, parfois, et il m’a rarement semblé autant que cela qu’au moment où j’ai lu cet échange.

Bon, peut-être que certains d’entrevous qui étaient à ces concerts et ont fait des commentaires similaires en public ou en privé se sentent quelque peu sur la défensive en ce moment – après tout, je vous entend dire, ce sont clairement des femmes attirants et, eh, elles montent sur scène vêtues de robes dorées à paillettes, alors, vous savez, si elles veulent que les gens se concentrent sur la musique, pourquoi elles n’atténueraient pas la chose ? Mais comme ce post de Headstuff l’a ironiquement souligné, c’est la différence entre l’attention portée par l’œil masculin – et les chroniqueurs musicaux sont toujours majoritairement des hommes – sur l’apparence des femmes musiciennes, tout d’abord, plutôt que sur leur talent, qui reste vraiment en travers de la gorge – surtout quand on la compare au traitement que les musiciens hommes similaires reçoivent. Oui, certains groupes féminins peuvent être beaux – mais pourquoi donc en faire le premier adjectif ou commentaire lorsqu’on les juge en tant que groupe musical.

Je suspecte avoir perdu une poignée de mes quelques lecteurs maintenant, étiqueté comme faisant partie du collectif politiquement correct moderne où “on ne peut même plus complimenter une femme sans être arrêté par la police d’internet bla bla minorité persécutée bla bla UKIP bla”, mais mon expérience en tournée avec Smoke Fairies m’a rendu particulièrement sensible à ce genre de condamnation avec louange malencontreuse et particulièrement motivé à repenser ma propre approche en travaillant avec et en parlant de femmes musiciennes. Tout d’abord – je vais arrêter de les appeler femmes musiciennes. Ce sont des musiciennes. Tout comme le mémorable échange sur Twitter entre Neko Case et playboy a fait remarquer (excusez la vulgarité mais “NE ME FAITES PAS UN PEGGY OLSEN, BANDE DE CONNARDS” reste une de mes réparties préférées), et tout comme Savages a barré les mots “all-female” (“entièrement féminin”) de leur légende dans le New York Times, il n’y a pas besoin de différencier les groupes menés par un homme ou par une femme. Ce sont tous… attendez… des groupes. Ce serait sympa si nous nous y mettions tous et essayons de refléter cela dans le monde réel, et arrêtions de rendre l’apparence d’un groupe plus importante que leur son.

J.W.(E)

Dans une sorte de post-scriptum, j’aimerais faire remarquer que de telles différentiations peuvent toujours être utiles quand elles sont proprement appliquées, comme dans la série de line-ups de festivals bricolés qui ont commencé à apparaître cette année (le premier étant le poster de Reading/Leeds modifié par Crack In The Road) ; cela aide clairement à identifier la sous-représentation continue de femmes musiciennes et artistes au plus haut niveau. Mais quand on décrit un groupe dans une chronique ou une légende (voir le tweet de Savages, ci-dessus), cela ne sert à rien.

PSB dévoilent leur “face cachée”

Le clip du nouveau single du groupe, The Other Side, est désormais disponible, il a été tourné lors de la dernière apparition du groupe au Secret Garden Festival et propose un excellent aperçu des retransmission live du groupe au complet à quatre. Il va sans dire que c’est magnifique !

TheOtherSide

Poster du festival Green Man

Graham Pilling, alias Army Of Cats, a édité un poster en édition très limitée (60 exemplaires) pour le Festival Green Man. Il en reste désormais un disponible sur sa boutique Etsy. Dépêchez-vous !

2015-08-23

Tournée britannique d’automne

Le groupe repart en tournée au Royaume-Uni en novembre ! (Enfin “repart” est un grand mot étant donné qu’ils sont constamment sur la route !)

La tournée, qui se conclura sur la date à la Brixton Academy (la plus grosse de leur carrière en tête d’affiche) précédemment annoncée, s’arrêtera dans les villes suivantes :

Les tickets sont déjà en vente depuis quelques semaines pour 20£ plus frais de location et/ou de port. Apparemment Édimbourg et Nottingham se vendent plutôt bien, ne tardez pas si vous voulez vous y rendre. Je serai bien sur de la partie sur la tournée entière, n’hésitez pas à venir me voir si vous me reconnaissez !

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