The News | 24 avril 2015
Public Service Broadcasting ne cessent de regarder vers les étoiles dans la Course à l’Espace
La course à l’espace a marqué une période hors pair d’exploration et d’avance technologique pour l’humanité
Mais curieusement tout semble plutôt désuet et l’époque est saupoudrée de nostalgie.
Cependant Public Service Broadcasting ont jeté un œil frais aux 15 années de 1957 à 1972, utilisant des images d’archives et les combinent avec une musique de pointe.
Comme le leader de PSB, J Willgoose, Esq, le dit : “C’est incroyable quand tu penses que c’était il y a plus de 40 ans. On a mis des gens sur la lune et on s’est arrêtés. Ce n’est pas souvent qu’on revient en arrière d’une réussite technologique et ça n’a pas été revisité.
“L’opportunisme politique est resté je suppose. On a besoin des bonnes circonstances historiques qui ont nourri cette période incroyable, quand ils avaient la raison et l’excuse de dépenser l’argent sur ce genre d’efforts.
“Je pense que c’est un exemple intéressant de la manière dont l’humanité s’est poussée en avant – la manière dont cette poussée créative peut sortir de quelque chose conçu pour la destruction”.
The Race For Space nous emmène du lancement de Spoutnik 1 à l’hommage “Afrobeat avec des balalaïkas” au premier homme dans l’espace, Gagarine, le désastre d’Apollo 1, et finalement l’alunissage.
Après le succès du premier album de 2013, Inform-Educate-Entertain, J dit qu’il avait déjà une idée d’où il voulait aller après : “J’ai pensé que ce serait un EP ou un mini-album, je n’ai jamais pensé que ce serait un album complet mais quand j’ai commencé à travailler dessus, c’est devenu huit morceaux assez rapidement et après c’était un album”.
L’album a été dévoilé au National Space Centre de Leicester en février.
“Le spectacle sur scène est un peu une évolution plutôt qu’un révolution – on a un peu plus de fioritures spéciales, explique J. On a construit notre propre Spoutnik à LED, et on a tout un tas d’autres effets visuels. On a également un troisième membre qui nous a rejoint sur scène, JF Abraham, qui joue un peu de cuivre, des claviers et des percussions. C’est un son plus gros et un spectacle plus impliqué sur le plan musical”.
La première partie est assurée par les Smoke Fairies de Chichester, qui apparaissent sur l’hommage de The Race For Space à la première femme dans l’espace, Valentina Tereshkova. “La manière dont elles l’ont fait, elles ont été assez courageuses”, dit J de leur contribution. “Ce serait terrifiant pour moi d’aller dans un studio faire ce qu’elles ont fait.
“Elles ont définitivement poussé la chanson dans une direction qu’elle n’aurait pris autrement”.
Ils jouent au Pyramids Centre ce soir, ouverture des portes à 19h. Billets à 19.25 £.
Traduction : 27 mars 2017