BLUE HEAVEN | Paroles

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Hymne à la confiance en soi inspiré par Marlene Dietrich, et en particulier de son lien avec Berlin. Andreya Casablanca du groupe berlinois Gurr donne sa voix et a co-écrit les paroles et la musique.

Le titre est tiré du standard du jazz My Blue Heaven, chanson que Dietrich a interprétée et qui lui a permis de rêver de s’installer en Amérique. Blue Heaven comprend également son célèbre refrain “Ich hab noch einen Koffer in Berlin” (“J’ai toujours une valise à Berlin”). En même temps, la couleur bleue du titre se réfère à son rôle majeur et émergeant dans l’Ange bleu, le film qui l’a catapultée star dans le monde entier.

Paroles :

I know I’m different
I do as I please
A spark inside that I can’t hide
A mystery
I dream of the big screen
Marlene up in lights
I am my own creation
I’m in my blue heaven

I like to show it all
Exposed in their unmade beds
I got a mission now
Doing things they won’t forget
And how they light up my face
So they can find their own grace
I am my own invention
Yeah I’m in my blue heaven

Let you down, let you down, let you down, let you down
I won’t let me down, let me down, let me down, lеt me down

Noch einen Koffеr in Berlin
Suddenly they want me back
Aber nein, bitte, danke, für die Freiheit bleib ich stark [but no, please, thanks, I stay strong for freedom]
Am I the moth or a flame?
As long as I play my game
I am my creation
Yeah I’m in my blue heaven

Let you down, let you down, let you down, let you down
I won’t let me down, let me down, let me down, let me down

Und Schnitt, Montage, Totale, Aufnahme Geräusch und Musik und Dynamik und Sprache Marlene im Licht, Kostüm ist eine Pflicht
Selbstbeherrscht und kühl ist mein Gesicht
Und ich bin mein Produkt ganz von mir gemacht
Ich bin mein Produkt ganz von mir gemacht

They call me a traitor
They spit in my face
But I’m in my blue heaven
Blue heaven
Blue heaven
Blue heaven

Let you down, let you down, let you down, let you down
I won’t let me down, let me down, let me down, let me down

Ich hab noch einen Koffer in Berlin


Paradis bleu

Je sais que je suis différente
Je n’en fais qu’à ma tête
Une étincelle en moi que je ne peux cacher
Un mystère
Je rêve du grand écran
Marlene captant la lumière
Je suis ma propre création
Je suis dans mon paradis bleu

J’aime à tout montrer
Exposée dans leurs lits défaits
J’ai désormais une mission
Faire des choses qu’ils n’oublieront pas
Et comment ils illuminent mon visage
Pour trouver leur propre grâce
Je suis ma propre invention
Ouais, je suis dans mon paradis bleu

Te laisser tomber, te laisser tomber, te laisser tomber, te laisser tomber
Je ne vais pas me rabaisser, me rabaisser, me rabaisser, me rabaisser

J’ai toujours une valise à Berlin
Tout à coup, ils veulent à nouveau de moi
Mais, non, s’il vous plaît, merci, je reste forte au nom de la liberté
Suis-je le phalène ou une flamme ?
Tant que je joue bien à mon jeu
Je suis ma création
Ouais, je suis dans mon paradis bleu

Te laisser tomber, te laisser tomber, te laisser tomber, te laisser tomber
Je ne vais pas me rabaisser, me rabaisser, me rabaisser, me rabaisser

Et coupure, montage, plan d’ensemble, enregistrement, son et musique et dynamique et langue, Marlene dans la lumière, le costume est indispensable, mon visage est indifférent, je garde mon sang-froid
Et je suis mon produit, complètement créé par moi-même
Je suis mon produit, complètement créé par moi-même

Ils me traitent de traître
Ils me crachent au visage
Mais je suis dans mon paradis bleu
Paradis bleu
Paradis bleu
Paradis bleu

Te laisser tomber, te laisser tomber, te laisser tomber, te laisser tomber
Je ne vais pas me rabaisser, me rabaisser, me rabaisser, me rabaisser

J’ai toujours une valise à Berlin