Author Archive: Anne-Spooky

Journal d’une fan en tournée – 3

Été / Automne 2014

Lancement de The Race For Space au Centre Spatial National de Leicester

26 février 2015, National Space Centre, Leicester

Ah que je l’attendais cette date ! Déjà parce que j’étais en “manque” du groupe (3 mois et demi, c’est long !) et qu’étant donné la beauté et l’excellence de The Race For Space, j’étais impatiente d’entendre comment il rendait en live, surtout dans un endroit aussi particulier que ce centre spatial.

J’arrive devant la “salle” (à défaut d’autre terme, il n’y a jamais eu de concert avant ici) vers 17h passées et oh, j’entends des bribes de soundcheck !

Pour changer, je suis la première 😉 Je fais le tour des lieux, la tour avec les fusées est magnifique, et s’allume au fur et à mesure que la nuit tombe.

À 19h, on nous laisse avancer jusqu’au portes, le tampon porte le nouveau logo du groupe, j’adore !

On rentre enfin à 19h30, pour être encore une fois bloqués à l’entrée, les gens vont au bar, d’autres au merchandise, je laisse mes affaires au vestiaire (gratuit !) et j’attends. Un quart d’heure plus tard, j’aperçois enfin la scène !

Je comptais visiter un peu le musée mais les gens s’attroupent très rapidement autour de la “barrière” donc je ne bouge plus. Beaucoup de gens font la queue pour le film diffusé au planétarium. Et oh, je vois un de leurs costumes d’astronaute accroché derrière la scène !

J’observe un peu le matériel, surtout qu’il y a désormais un troisième musicien sur scène, JF Abraham. Je vois donc des basses, un autre clavier, une trompette (nan, c’est un buggle !) et… une batterie secondaire ?

Pas de première partie, le temps se fait un peu long… Puis silence et le morceau “caché” de The Race For Space se fait entendre, ça y est !

Habituée à entendre London Can Take It ouvrir les sets, Sputnik m’a surprise, mais comme c’est l’une de mes préférées du nouvel album, je n’en suis que plus heureuse, surtout qu’elle rend très, très, très, très, bien en live. Des gens sifflent de contentement, mais que ce passe-t-il ? Oh, en lieu de leur antenne, un Spoutnik géant s’élève derrière JFA, comme il est joli ! C’est le généralissime Mr B qui l’a fait avec ses petites mains.

Le pauvre, ce soir, rencontrera pas mal de problèmes techniques après avoir fait tomber sa caméra et avec des écrans récalcitrants. Ce ne sera pas le seul d’ailleurs, le pauvre Willgoose suera à grosses gouttes pour faire fonctionner Elf Part 2 correctement et ils la recommenceront deux fois (personnellement, ça me fait plus d’une de mes préférées :p)

Très bonne nouvelle setlist avec du nouveau et de l’ancien qui se mélangent à merveille. Go! et la basse sublime de JFA est un grand moment et pas que pour moi : des gens crient “Go !” en rythme derrière moi ! The Other Side, déjà émouvante sur disque, l’est encore plus avec les magnifiques lumières de Dom où on se retrouve dans le noir au moment de la perte de signal et une sorte de levée de soleil quand le signal est retrouvé. Valentina et Tomorrow sont accompagné du “champ d’étoiles” de Mr B, de petites diodes disséminées un peu partout sur scène et au-dessus. Tomorrow que j’aimais moyennement sur disque est devenu une de mes préférées.

Au bout de plus d’une heure de concert, une petite pause s’impose et ils reviennent pour le rappel avec London Can Take It qui reprend ainsi un peu son statut d’ouverture de setlist. Un trio de cuivres monte sur scène, Gagarin ? Bingo ! Tout le monde danse, c’est la folie, et encore plus lorsque Giles, leur tour manager, monte sur scène, portant un de costumes d’astronaute du groupe ! (“Houston, on a un problème, tout part en vrille à Leicester !”) Puis l’inévitable “This is our last song” avec Everest.

J’attends un peu car j’avais vu qu’ils avaient enfin des setlists sur scène. Giles décolle celle de Willgoose et me la tend. Le mec à côté de moi essaie de l’attraper mais Giles lui explique fermement que c’est pour moi, wow !

Je retrouve des amis de Bristol et nous allons au merchandise pour la dédicace. Après une queue plus que civilisée (ça change des autres groupes !), je rencontre d’abord JFA qui me reconnaît quand je lui parle de Dingo (longue histoire sur Twitter en relation avec mon lieu de travail), “Oh, you’re my Disneyland Paris lady!” Eh oui ! Je lui dis qu’il est approuvé par moi (lol) et qu’il risque de me voir pas mal, ce à quoi il réplique qu’on lui a dit ça (oh merde !)

Je m’avance vers Willgoose, tout sourire, à qui je fais signer la setlist et l’album et il me fait un “Alors, on a écouté l’album avant tout le monde ?” Oops, désolée ! Mais il me pardonne parce que c’est moi 😀 Wriggles me voit alors et me demande si j’ai fait bon voyage (nor-mal, tout va bien) et je donne mon petit cadeau à Willgoose : un astronaute lampe USB et sa réaction première, c’est “Dommage, j’ai plus de port USB libre !” Oh ! Wriggles sort un “This is amazing !” et explique qu’il a un port de libre sur son pad, oh ! Je leur dis que j’ai une petite surprise pour eux demain (étant donné qu’ils ne fouillent pas les sacs à l’entrée, je pourrais leur faire) et je m’en vais. La suite demain !

27 février 2015, National Space Centre, Leicester

Et c’est reparti pour un tour ! Après la soirée exceptionnelle de la veille, je m’attendais à la même chose, d’autant plus qu’ils filmaient pour un DVD ! Je me suis donc mise sur mon 31 avec mon nœud papillon et mon badge Doctor Who 😉

Comme la veille, j’arrive la première et ils nous bloquent au fur et à mesure qu’on avance dans l’enceinte, mais cependant, petite surprise, les W&W’s (mieux que les M&M’s ! Oui, je sais, mes blagues ne s’améliorent toujours pas…) sortent habillés en astronautes ! Je prends bien sur la pose avec eux 😀

Comme la veille, je me mets directement derrière la barrière, mais ce soir, personne viendra se mettre devant (la veille, les places avaient été réservées pour une jeune fille en fauteuil ainsi qu’une femme enceinte).

La setlist sera la même que la veille, à une différence près, ils recommenceront Elf Part 2 qu’une fois. The Other Side sera dédiée à “Spock” suite au décès le jour-même de Leonard Nimoy.

Mais ce soir-là, je m’intéresse un peu plus au Spoutnik géant de Mr B car je me suis rendu compte sur les photos partagées de la veille qu’il possède des diodes et que le motif change selon les chansons, par exemple, on a pleins de couleurs sur ROYGBIV, l’antenne du logo sur Theme From PSB, des astronautes danseurs sur Gagarin et le Mont Everest sur le morceau du même nom.

À la fin, j’ai le droit à un “Thank you” dirigé vers moi et Willgoose me sourit et me lance son médiator ! (Bien sûr, avec mon élégance naturelle, je me vautre pour le ramasser – vous avez déjà essayé de trouver un médiator noir sur une moquette noire ?) JFA décolle sa setlist et la pose sur le bord de la scène, et hop, pour moi !

Après une queue encore plus civilisée que la veille (“Oh, tu as eu la setlist et le médiator, cool !” “Tu viens de France, wow !”), je parle enfin à Mr B pour le féliciter pour Sputters (surnom officiel de son Spoutnik j’apprends) et je lui parle de Anton Corbijn et de son travail avec Depeche Mode (“Who doesn’t love the Modes ?”), je fais signer ma setlist et mon CD au groupe et je dis à Willgoose, “Tu te rappelles que je t’ai dit que j’avais une surprise pour vous ce soir ?” Et là, je sors ma bouteille de champagne rose et là, “Oh, Anne-Sophie, you shouldn’t have!”, et là, je sors le paquet de Reims Roses, et là, le gourmand Wriggles sort “They’re excellent!”, se rue dessus et les met de côté ! Je remercie Willgoose pour le médiator, ce à quoi JFA demande innocemment, “Tu veux le mien ?” Un peu mon neveu ! Et le pauvre Wriggles qui s’excuse qu’il n’en a pas. J’ose lui demander une baguette, et il me dit que ça sera pour une prochaine fois 😉 (pour info, je l’ai ENFIN eue le 7 février 2016 à Leeds via son adorable drum tech Matt).

Allez, deux mois à attendre avant la tournée britannique…

Tournée britannique avril/mai 2015

Journal d’une fan en tournée – 1

Découverte en première partie des Manics

Étant donné que mes chroniques live s’avéraient plus être le récit de mes rencontres avec le groupe sur la route, autant les transformer en journal...

27 septembre 2013, The Ritz, Manchester

Là où tout a commencé… Grande fan des Manic Street Preachers qui n’a raté aucune tournée, voire aucun concert londonien des Gallois depuis 2002 (sauf une fois), j’avais accueilli l’annonce du nom de la première partie par un “Mécéki ?” avant de me jeter sur Spotify. Mes oreilles avaient bien aimé ce qu’elles avaient entendu, en particulier “le morceau qui ressemble à Joy Division” (c’est à dire Spitfire).

Mais rien n’aurait pu pressentir la soirée magique que j’allais vivre ce 27 septembre 2013 ! Premièrement, c’était ma première visite à Manchester (c’était un vendredi et ne pouvant poser de vacances, j’ai demandé un long weekend et j’ai donc pris l’Eurostar la veille, dormi – un peu – à Londres pour prendre le train pour Manchester le matin même du concert – fin de 3615 MyLife), deuxièmement, Sean Moore m’a annoncé après le concert celui du Bataclan en mai suivant (“Il se pourrait qu’on vienne à Paris en mai prochain”), à en croire que la campagne des fans français ait fonctionné et donc troisièmement, j’ai réellement découvert PSB (comprendre “Je suis tombée raide dingue – musicalement parlant, quoique… – de Willgoose, euh, du groupe”).

Déjà, rien que la mise en scène originale : batterie à gauche, écran vintage au milieu et un ordinateur portable et d’autres “bidules” à droite ; je me demande “Mékékecé ?”. Et là, ils montent sur scène. Enfin, toutes mes excuses à Wriggles, mais je n’ai vu que Willgoose ce soir-là (Ce nœud papillon ! Grande fan de Doctor Who, j’ai pensé immédiatement à “Bow ties are cool !” en le voyant), mais m’étant mise à mon habitude entre James et Nicky, j’étais pile poil devant lui de toute manière.

Je n’ai pas vraiment de souvenir des morceaux joués ce soir-là, à part Spitfire et Signal 30, que je confondais encore à ce moment, mais ce qui m’a vraiment frappé, c’est la dextérité de Willgoose, qui joue de tout ou presque, voire de deux choses en même temps (guitare et synthé sur la fin de Spitfire).

J’étais donc prête pour les revoir deux jours plus tard à Glasgow…

29 septembre 2013, The Barrowlands, Glasgow

Et voilà, deux jours après ma première visite de Manchester, me voici en Écosse pour la première fois, plus précisément Glasgow, la ville où on retrouve des Tardis dans la rue (oui, oui, Doctor Who me poursuit encore…)

À vrai dire, je ne me souviens pas plus plus du concert en lui-même que celui de deux jours auparavant. Je me souviens que j’étais très impatiente de revoir à la fois Public Service Broadcasting et les Manics en l’espace de deux jours (aimer autant la première partie que la tête d’affiche, c’est tellement rare qu’il faut prendre le temps d’apprécier le moment).

Ce soir-là, j’ai essayé de me détacher les yeux des mains de Willgoose pour m’intéresser aux films projetés derrière eux durant leur prestation.

Grande fan de Depeche Mode et Recoil (projet solo d’Alan Wilder, ex-Depeche Mode) – oui, je suis fan de beaucoup de choses – j’ai l’habitude de concerts agrémentés de visuels et donc, en gros, j’ai adoré ces vieux films en noir et blanc (eh bien, à l’exception de celui qui illustre ROYGBIV, ce serait un comble quand même !), à la fois effrayants, hypnotiques, drôles. Je vous conseille d’aller jeter un œil à leur chaîne YouTube si ce n’est pas déjà fait.

Même si à la fin de la soirée, je n’étais pas aussi accro que je ne le suis aujourd’hui, j’avais bien incrusté le nom du groupe dans mon esprit pour la suite…

2 avril 2014, La Flèche d’Or, Paris

Encore une soirée replie d’émotions ! Premièrement, j’étais ravie de les revoir en tête d’affiche après les premières parties des Manics, deuxièmement en France et troisièmement, dans une petite salle !

J’arrive devant la salle à 19h après le travail et… personne ! Un mec distribue des flyers, oh c’est pour les Manics au Bataclan, avec PSB en première partie ! Je tweete cela et bam, Willgoose (qui s’occupe du compte Twitter officiel du groupe) met mon tweet en favori ! (Le premier d’une trèèèèès longue lignée).

Je me poste au premier rang (comme d’habitude donc !) et la salle mettra très longtemps à se remplir (ce n’était pas complet à ma connaissance).

Le groupe de première partie, Dark Horses, était vraiment sympa, surtout pour une fan de BRMC comme moi (oui, oui, j’aime vraiment BEAUCOUP de choses !)

Puis arrivent PSB pour installer leur matos. Habillés en jogging, baskets et sans lunettes, je n’avais pratiquement pas reconnu Willgoose, qui commence à me parler en français quand je veux dégager mes affaires de son chemin ! Comme l’a dit une amie écossaise, “Le pauvre, il ne savait pas ce qu’il avait déclenché !”.

Concert très bien dans mes souvenirs, plus apprécié que les autres fois car je connaissais bien plus les chansons (j’ai bien fait chauffé Spotify entre temps). Par contre, il s’est terminé bien tard, et me levant très tôt le lendemain matin, je suis partie directement après le concert, ratant un RER et prenant le tout dernier.

Je décide de passer le temps en tweetant au groupe que j’avais aimé le concert, que je les revoyais au Bataclan avec les Manics et que j’avais raté mon RER. À ma grande surprise, il me répond en me remerciant et en s’excusant pour mon train ! Effectivement, il ne savait pas ce qu’il avait déclenché…

23 mai 2014, Le Bataclan, Paris

Voici un soir que j’attendais comme le Messie ! En effet, les Manics revenaient enfin en France après 15 ans, au cours d’une tournée où ils avaient repris Public Service Broadcasting en première partie.

Après une bonne matinée à poiroter sur le Boulevard Voltaire et un tour à East Side Burgers (si vous cherchez un fast food végétarien et végétalien, je le recommande vivement !) J’aperçois le duo londonien devant la salle, avec un Willgoose en short et t-shirt jaune canari (j’essaie toujours de me retirer cette abomination de ma tête !) Il me regarde, je crois qu’il m’a reconnue (l’avenir confirmera cette impression).

Je me place devant Willgoose par habitude (et parce que c’est mon endroit habituel pour les Manics après). Court set, première partie oblige, mais toujours aussi bon. Je pense que c’est également la première fois que j’ai entendu Elf Part 1 en live.

Les Manics, c’était très bien aussi, même si je pense que j’en attendais trop de ce concert français, le public n’était pas au top dans un Bataclan à moitié vide :/

Je récupère une baguette de Sean et je me dépêche de sortir pour intercepter mes Gallois préférés à leur montée dans le bus. En cours de route, je vois que PSB sont à leur stand merchandise (je note bien pour la prochaine fois, c’est à dire 4 jours plus tard).

Nicky est rapidement pris d’assaut, je parle très brièvement à Wayne (leur guitariste rythmique sur scène pour les non connaisseurs) puis évidemment aux trois milliards d’amis qui étaient là.

Je vois des boucles et un van, oh c’est PSB qui s’en vont alors je leur fais au revoir de la main et ils me répondent, bon signe pour la suite…

27 mai 2014, Ancienne Belgique, Bruxelles

Voilà, il fallait bien que cela arrive un jour, ma première vraie rencontre avec J. Willgoose, Esq. !

Et pourtant ce n’était pas gagné, n’ayant aperçu personne de la journée, impossible d’avoir un baromètre des groupes. Le concert était plutôt pas mal, les deux groupes confondus.

Je récupère la setlist de Nicky avec le chatterton léopard (cadeau à l’équipe de deux amies à moi) et je me dirige vers le merch de PSB… J’achète l’album à Giles, leur tour manager multi-fonctions et je me tourne vers Willgoose : “Bonjour, je suis Anne-Sophie de Twitter !” – “Je sais !” (Et merde !)

Je fais signer l’album (“Anne, c’est avec ou sans E ?” “Avec, et un tiret”. – oui, je tiens à mon tiret ! “Ça, je sais”. Ah !) où il écrit un “Merci beaucoup” en français dans le texte. Il voit ma setlist, “Oh, you’ve got a setlist!” et là je réfléchis qu’ils en ont pas sur scène, dommage…

Je leur dis que je les vois deux jours plus tard à Luxembourg en leur expliquant que la salle est toute petite, petite. Cela semble les inquiéter un peu. Je fais une photo avec Willgoose et je les libère. La suite au prochain concert !

29 mai 2014, Den Atelier, Luxembourg

Hmmm comment dire ? Grillée à vie avec le groupe ? Ouais, je pense que le terme est correct, je vous explique tout cela (et la raison du pourquoi je n’ai pas pris de photo).

Tout d’abord, compte tenu du fait que la salle, et donc par extension, la scène, est toute petite, Monsieur Willgoose doit passer dans la minuscule fosse à photographes pour atteindre son endroit sur scène, et ce, deux fois, puisqu’ils font leurs réglages eux-mêmes.

À son retour backstage, il me voit, sourit et me dit bonjour, à la grande surprise de mes amies (et moi aussi) ! Okay, tout va bien…

J’ai eu le droit à pleins de petits clins d’œil lors de leur prestation, genre “Are you looking forward to the Manic Street Preachers?” en me désignant avec mes amies pailletées et un “Thank you” dirigé vers moi à la fin.

Tout cela suivi d’un magnifique concert des Manics, qui faisaient leurs premiers pas au Luxembourg (eh oui !), et j’étais à la fois super contente et triste que la tournée se finisse.

Je retourne voir Public Service Broadcasting au merchandise pour faire signer mon 45 tours de Elfstedentocht (Parts 1 & 2). Et là, je les vois horrifiés me demandant où je l’avais trouvé, craignant que j’avais dépensé des milles et des cent sur eBay et compagnie. “À Paris !” Cette fois-ci, pas besoin d’épeler mon nom ou quoi que ce soit et j’ai même le droit à un “Incroyable ! – à bientôt !” et là, ils me disent qu’ils reviendront en Europe à la même période l’année prochaine. Rendez-vous pris (sauf que je les reverrai beaucoup plus tôt que cela !).

Été / Automne 2014

Disquaire Day 2016

The Other SideAprès une année sans sortie du groupe pour le Disquaire Day, les voici de retour cette année, avec une édition picture disc du 45 tours de The Other Side, avec le remix de Datassette sur “l’autre côté”.

Rendez-vous chez votre disquaire du coin le 16 avril prochain !

Point nœud pap’ ;)

Vous aurez peut-être remarqué que J ne portait pas son nœud pap’ habituel samedi à Paris. Effectivement, il s’agissait d’un des deux modèles qu’Olivia Pradel de Bow & Belle lui avait remis la veille à Lyon (je suis témoin !).

Il y a de très jolis modèles masculins et féminins !

Public Service Broadcasting.5 mars 2016.La Maroquinerie.Paris.Michela Cuccagna©

Public Service Broadcasting.5 mars 2016.La Maroquinerie.Paris.Michela Cuccagna©

Vidéo de E.V.A.

Avant la tournée européenne (qui commence chez nous ce week-end, ne l’oublions pas), la vidéo du nouveau single (en Italie du moins), E.V.A., vient de paraître, regardez Alexeï Leonov se promener dans l’espace ci-dessous :

[embedyt] http://www.youtube.com/watch?v=PFSq4Q8WDs0[/embedyt]

INFORM – EDUCATE – ENTERTAIN | Paroles

Disponible sur :

Description :

Motto de la BBC, écrit par John Reith. Ce morceau est en fait le patchwork de toutes les chansons de l’album, tel un manifeste. Il se conclut par les célèbres signaux horaires de Greenwich, nommés “pips”, diffusés par la BBC à l’heure juste, toutes les heures.

Paroles :

Out of the past and into your future comes this news
And the news is Public Service Broadcasting
A bright new era dawning
The vivid, pulsating miracle that gives substance to shadow
Who knows what miracles are yet to come?
It’s tiring always stretching up for something that is just out of reach, but I’ll get it
After all, what I want isn’t as easy as all that
Two very small men cutting steps in the roof of the world
Public Service Broadcasting
They say something about the spirit of our own time
Something that will still be worth saying a hundred years hence
Trains from Bristol, Cardiff, Manchester, Stoke, Liverpool and Birmingham bring a thousand bags of mail to the north
I tried to warn you now
It’s the end this time
I’m sorry; I was telling people to shut up talking
What I mean to say is
There’s nothing between us and heaven
Nothing at all

C’mon, I’ll give you a real ride
Here we go again
I believe in this world to come, I think it’s gonna be a pretty good world
Public Service Broadcasting


Informer – Éduquer – Divertir

Du passé et dans l’avenir vient cette nouveauté
Et cette nouveauté, c’est Public Service Broadcasting
Une toute nouvelle époque à venir
Le miracle vif et pulsatif qui donne de la substance à l’ombre
Qui sait quels miracles doivent encore se passer ?
C’est fatiguant de s’allonger pour quelque chose qui est juste hors de portée, mais j’y arriverai
Après tout, ce que je veux n’est pas aussi facile que cela
Deux petits hommes creusant des marches dans le toit du monde
Public Service Broadcasting
Ils disent quelque chose sur l’esprit de notre époque
Quelque chose qui sera toujours d’actualité d’ici cent ans
Des trains de Bristol, Cardiff, Manchester, Stoke, Liverpool et Birmingham apportent des milliers de sacs postaux dans le Nord
J’ai essayé de t’avertir, tu sais
C’est la fin cette fois
Chuis désolé, je disais aux gens de se la fermer
Ce que je veux dire, c’est ça :
Il n’y a rien entre nous et les cieux
Il n’y a rien du tout

Allez, tu vas voir où je vais t’emmener
Allez, on repart
Je crois en ce monde à venir, je pense que ce sera un très beau
Public Service Broadcasting

SIGNAL 30 | Film

Samplé sur Signal 30

Description :

Il s’agit d’un film éducatif de 1959 réalisé par la Highway Safety Foundation (Fondation pour la sécurité des autoroutes) dans les environs de Mansfield. Le film, diffusé massivement aux lycéens de part et d’autre du pays dans les années 1960, a été produit par Richard Wayman et est narré par Wayne Byers. Il tient son nom du code radio utilisé par l’Ohio State Highway Patrol (Patrouille de sécurité des autoroutes de l’Ohio) pour parler d’un accident de la route fatal. Similaire à Red AsphaltSignal 30 comprend des images de voitures accidentées et de leurs occupants horriblement blessés et démembrés. Malgré sa nature horrible, le film a plus tard remporté le National Safety Council Award. Il a deux suites, intitulées Mechanized Death et Wheels of Tragedy, et a inspiré tout un genre de films éducatifs tout aussi gores.

Source : Wikipedia en anglais

Vidéo :

SIGNAL 30 | Paroles

Disponible sur :

Description :

Signal 30 sample le film du même nom. Il s’agit d’un film éducatif de 1959 réalisé par la Highway Safety Foundation (Fondation pour la sécurité des autoroutes) dans les environs de Mansfield. Le film, diffusé massivement aux lycéens de part et d’autre du pays dans les années 1960, a été produit par Richard Wayman et est narré par Wayne Byers. Il tient son nom du code radio utilisé par l’Ohio State Highway Patrol (Patrouille de sécurité des autoroutes de l’Ohio) pour parler d’un accident de la route fatal. Similaire à Red AsphaltSignal 30 comprend des images de voitures accidentées et de leurs occupants horriblement blessés et démembrés. Malgré sa nature horrible, le film a plus tard remporté le National Safety Council Award. Il a deux suites, intitulées Mechanized Death et Wheels of Tragedy, et a inspiré tout un genre de films éducatifs tout aussi gores.

Paroles :

There’s trouble ahead
Trouble that may or may not be a signal 30
What will we find?
A minor mishap or will we look upon the stark face of death?
There’s been an accident at Moran on the expressway
They say two persons have been killed, there are several others injured
Have you called an ambulance?
I’ll be on the signal 30 in route

This is the result of driving carelessly with only casual attention given to the important mechanics
Hey you
I’d like to get a look at that dude
Oh smart Eh?
Why don’t you get some glasses so you can read those signs?
This is the kind of a guy who made the automobile people think of hydraulic brakes

You’re driving a little too fast and have a false sense of confidence
Watch it
You’ve really got something here
No drinking and driving
Not even beer?
Not even water
I’d rather be a racing driver with a car that could go places
Now just a minute my boy

Hey, why don’t you look where you’re going
There’s a road-hog if I ever saw one
How did you ever get a licence to drive
Get out of that car and I’ll
C’mon, I’ll give you a real ride

What’s going on?
Please no, no not again
Let me out of this car
Somebody let me out this car


Signal 30

Il y a un problème droit devant
Un problème qui peut ou ne pas être un Signal 30
Que trouverons-nous ?
Un incident mineur ou allons-nous contempler le visage dur de la mort ?
Il y a eu un accident à Moran sur la voie rapide
Ils disent que deux personnes ont été tuées, il y a plusieurs autres blessés
Avez-vous appelé une ambulance ?
Je serai sur le Signal 30 en route

C’est la conséquence de conduire négligemment avec seulement une attention distraite donné à la mécanique importante
Eh toi
J’aimerais voir ce gars
Oh tu te sens intelligent, hein ?
Pourquoi tu ne vas pas te chercher des lunettes pour pouvoir lire ces panneaux ?
C’et le genre de gars qui poussent les gens des automobiles à penser aux freins hydrauliques

Tu conduis un petit peu trop vite et a un faux sens de confiance
Fais gaffe !
Tu as vraiment quelque chose ici
On ne boit pas en conduisant
Même pas de la bière ?
Même pas de l’eau !
Je préférerais être coureur automobile avec une voiture qui pourrait faire des ravages
Maintenant juste une minute mon garçon

Eh, pourquoi tu ne regardes pas où tu vas ?
Je sais reconnaître un chauffard quand j’en vois un
Où tu as trouvé ton permis ?
Sors de cette voiture et tu vas voir
Allez, tu vas voir où je vais t’emmener

Qu’est-ce qui se passe ?
S’il vous plaît, non, pas encore
Sortez-moi de cette voiture !
Que quelqu’un me sorte de cette voiture !